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J12 : L’IA va abrutir nos cerveaux, et nous applaudirons bêtement

Ne pas parler du sujet de l’IA en 2023, c’est passer pour un has-been s’accrochant à un monde qui n’existe déjà plus

👉 Bref un boomer technophobique

Au sein des organismes de formation, je constate à quel point le sujet de l'IA divise

🔷 D’un côté, il y a ceux qui s’en sont emparés, expérimentent à tout-va et estiment que ceux qui ne s’y intéressent pas seront les perdants de demain

🔶 De l’autre côté, des professionnels qui pensent que leur activité est tellement spécifique qu’elle ne pourra jamais être transformée

🔺 Et au milieu, tous ceux qui attendent pour faire un pas en avant
Pas franchement réfractaires, ni totalement convaincus 🤔

Et moi dans tout ça, je me situe où ?
Curieux bien sûr, alors j’ai pas mal testé ces derniers mois
Voilà ma conclusion

👉 Je suis désormais convaincu des gains de temps que cela procure, et l’intègre dans certaines productions choisies (l'ingénierie pédagogique, la structuration d'articles, la correction d'écrits)

👉 D'un autre côté, je ne souhaite pas tout optimiser et je préfère en avoir une utilisation mesurée, quitte à brider les possibles.

Car, tout comme je préfère calculer de tête plutôt qu’utiliser une calculette, je souhaite à terme conserver mes fonctions cognitives de base et ne pas devenir qu'une machine à demander 🤖

En plus, je trouve intéressant ces moments à chercher, cette phase exploratoire dans les projets où je me creuse un peu la tête 🤯

Et je dois avouer que ce qui me nourrit le plus dans mon travail, c'est davantage le chemin emprunté que le résultat final ! 🚀

Mais sur ce sujet, je suis assez humble, et je suis curieux de voir ma position évoluer dans les 5 ans à venir…

Quelle est la vôtre ? 🤔

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