Car
oui, tout n’est pas rose dans le monde des transitions professionnelles...
Seulement,
on en entend moins parler
Car
c'est clairement moins vendeur que les belles histoires 🤐
Et
pourtant, c’est d'une logique mathématique implacable
Le
nombre de reconversions explose année après année : statistiquement plus de chance de voir des échecs
👉
Et surtout ils se réalisent de plus en plus jeune : à peine diplômés, déjà reconvertis (j’exagère à peine 😅 )
La
plupart vont vers des métiers porteurs de sens
👉
Logique, c’est la nouvelle aspiration du moment : être aligné entre ses valeurs et son travail, quoi de plus normal
Mais
cela crée parfois des secteurs qui deviennent saturés (tout le monde veut y aller) sous-payés ou parfois éloignés de l’idée que l’on s’en faisait 😑
👉
Surtout quand la reconversion exige d’entrer dans une logique de chef d’entreprise : car cela veut aussi dire prospecter, communiquer ou gérer de l'administratif
On
n'a pas toujours envie de se frotter à ça 😅
Alors
le tableau n’est pas toujours aussi noir
La
plupart des reconverti(e)s assument leurs choix, et ne feront plus marche arrière
Ils
en tirent plus de bénéfices que d’inconvénients
Mais
le risque existe
Alors,
si on ose franchir le pas, il vaut mieux :
👉
Connaître tous les paramètres (notamment celui des débouchés)
👉
Ne pas négliger les risques et les freins à la reconversion
👉
Et anticiper les scénarios alternatifs avec un matelas amortisseur qui nous attend, sait-on jamais... 😶
Et
c'est notamment à ça que peut servir un bilan de compétences, malgré ce que l'on peut entendre parfois dans certains médias (voir mon post d'hier sur le dernier reportage de France 2 qui m'a bien
énervé pour le coup 😡)
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